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La Fondation AMIPI lauréate du Prix de l'entrepreneur de l'année sur l'Engagement Sociétal !

Prix de l'entrepreneur de l'année le prix

C’était la 26e édition du Prix de l’Entrepreneur de l’Année organisé par EY, grâce au concours de nombreux partenaires et un jury présidé par la Présidente de l’entreprise familiale Sodebo.

Ce prix, remis au Président de la Fondation AMIPI – Bernard VENDRE, Jean-Marc Richard, est celui de toutes nos usines apprenantes et inclusives des Pays de Loire et Centre Val de Loire. La Fondation est fière de célébrer ses héros : les hommes et les femmes qui travaillent dans ses usines apprenantes et inclusives (Upai®) et qui chaque jour gagnent en autonomie.

 

L’occasion pour Maryse Vendre, co-fondatrice de la fondation, Jean-Marc Richard, Président de la fondation et Doriane Pastor, directrice de l’Usine apprenante et inclusive de Nantes Métropole, de mettre en lumière les grands principes de la fondation :

  1. le refus d’installer les gens dans le handicap : le handicap « nous le gommons » ;
  2. le coût du travail doit toujours être privilégié à celui du non travail. Il est essentiel de bâtir un social responsable qui ne scarifie pas, par la dette excessive, celui des générations futures ;
  3. l’industrie et ses usines offrent de formidables opportunités pour développer simultanément de bons produits et les personnes.

Découvrez les moments forts de cette soirée : film Cécile Morinière

 
Prix de l'entrepreneur de l'année présentation de la fondation Prix de l'entrepreneur de l'année le prix Prix de l'entrepreneur de l'année lauréats Prix de l'entrepreneur de l'année groupe AMIPI

Après avoir été ovationnée par la salle, Maryse Vendre a rappelé les principes forts de notre fondation, tels que transmis par Maurice Vendre dès 1965 :

  1.  « L’autonomie véritable dans une société industrielle et capitaliste passe par une autonomie financière ;
  2. Au-delà des moyens financiers, l'homme ne peut trouver sa place dans la société qu'en y exerçant une activité utile, reconnue par tous ce qui exclut l'assistanat ;
  3.  Nous refusons que les personnes porteuses d'un handicap soient considérées par la seule facette de leur handicap ; cette attitude niant les évolutions possibles. »
 

 

Pour aller plus loin : sortie le 18 octobre du livre « Le travail qui guérit » sur l’ « expérience AMIPI » rédigé par le Professeur et neuropsychiatre Jean-Michel Oughourlian qui pendant plusieurs mois s’est immergé au cœur de nos usines apprenantes et inclusives. Son constat ? Chacun des opérateurs, porteur de handicap cognitif, progresse et développe ses capacités et son autonomie grâce au travail.

 
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